Il est question de réconciliation dans ce travail, comment reconstruire ce qui put être brisé, fragmenté.
Le fragment renvoie également à la vision que l’on peut avoir pendant l’éteinte, lorsque l’on est l’un contre l’autre, on voit alors le corps petit à petit, en détail, on s’y attarde.
Les plaques de résine, dans leur plasticité, renvoie à la peinture ancienne avec les vernis craquelés.
La suspension des plaques évoquent une lévitation des deux corps, la superposition et jeux de transparence entre les corps amènent ces derniers vers une unité, un corps unique malgré les espaces.