Ce travail s’articule autour de la présence et l’absence de l’être aimé. La brume, présente sur chaque photographie, devient alors cet être manquant, cette présence imprécise. Les textes, presque illisibles rejouent les limites entre visible et invisible, la résine cristallisant ce brouillard, figé dans un temps donné.
Cette pièce est une respiration dans le travail de l’artiste, un moment où la pensée s’égare, un au delà du studio photo, une extériorité, un trait d’union dans la pratique.